Heavy Weekend 2025 - Jour 3 - Nothing More, Rise of the NorthStar, Mass Hysteria, Slipknot
Nothing More Rise Of The NorthStar Mass Hysteria Slipknot Heavy Weekend
Le dernier jour du Heavy Weekend a transformé le Zénith Open Air de Nancy en une arène de chaos organisé, où se sont enchaînées performances explosives et énergie pure.
Une clôture à la hauteur de ce festival devenu incontournable.
© Photos / Marwan Khelif
Les texans de Nothing More ont ouvert les hostilités avec une énergie folle.
Jonny Hawkins, torse peint de motifs noirs et or, pieds nus sur scène, a livré une performance physique époustouflante.
Entre les jets de flammes synchronisés et sa voix aux amplitudes démoniaques, le groupe a prouvé pourquoi il cumule les nominations aux Grammy Awards.
Leur metal alternatif, à la fois technique et viscéral, a parfaitement préparé le terrain pour la suite.
© Photos / Marwan Khelif
Les Français de Rise of the Northstar ont ensuite pris possession de la scène avec leur mélange unique de metalcore et de rap.
Malgré des problèmes de son initiaux, l’énergie du groupe a fini par s’imposer.
Leur esthétique manga et leurs riffs coup-de-poing ont électrisé le public, dont l’enthousiasme a crû au fil du set.
Une performance qui confirme leur statut de phénomène underground.
Les spectateurs (record d’affluence du weekend) ont transformé le site en une mer de crowdsurfers.
© Photos / Marwan Khelif
Avec Mass Hysteria, c’est un quart de siècle d’histoire du metal français qui a déferlé sur Nancy.
Le groupe, en forme olympique, a balayé les doutes quant à sa capacité à remplir de grandes scènes.
Mouss, plus sobre en parlottes qu’à leur récent passage au Caribana, a laissé la musique parler d’elle-même.
Un set qui prouve que Mass Hysteria méritent amplement leur place dans le top de la scène metal hexagonale.
En tête d’affiche, Slipknot a offert un spectacle d’une intensité rare.
Même sans le légendaire clown, les Iowans ont démontré pourquoi ils dominent la scène metal depuis 25 ans.
Le décor de la scène, la batterie surélevée de Jay Weinberg et les éclairages à couper le souffle ont créé une atmosphère unique.
Les classiques (People = Shit, Psychosocial, Duality) ont enflammé une fosse pleine à craquer, transformant le Zénith en chaudron bouillonnant.
Cette ultime nuit a clôturé le Heavy Weekend en apothéose.
Rendez-vous les 5-6-7 juin 2026 pour la prochaine édition.









































